luni, 13 iulie 2009
Netoyage
miercuri, 8 iulie 2009
L'Arieş, la rivière des truites
Le 8 juillet 2009
Mercredi. Hier, pendant la matinée nos amis français nous ont quitté, pour aller en Pologne deux jours et après ils rentrent en France.
L’après’midi, nous sommes allés de nouveau chez l’ophtalmologue et on est rentré tout en pleurant à cause des goutes de toute sorte qu’on nous avait mis dans les yeux. Et...ça va mieux déjà...
J’attends la visite de mon cousin de Bucarest qui est en train de faire un tour par les lieux de ses origines maternelles...Il est désireux de faire quelques parties de pêche dans la rivière de Mureş et un week-end à Arieşeni, où la pêche se fait d’autre manière...Nous, on n’est pas des pêcheurs, mais on est prêt à offrir un repas à base de petites truites de montagne à nos hôtes.
Aujourd’hui, j’ai fait une grande lessive, même s’il pleut de temps en temps, deux fois déjà, et secher le linge, ça pose un problème...
marți, 7 iulie 2009
Chez le médecin
luni, 6 iulie 2009
Foire
Le 5 juillet 2009
Dimanche. Aujourd’hui, c’est le premier dimanche du mois de juillet, donc à Arieşeni il y a une foire, c’est-à-dire un marché plus important. Et il ne pleut pas.
Il y a eu plein de marchandises: des fruits, des légumes, des animaux, cochons surtout mais aussi du bétail. On peut acheter un veau, par exemple, pour le tuer et le manger... J’ai acheté deux plantes pour la fenêtre qui donne sur le jardin parce que celles qui étaient là-bas ont fleuri jusqu’à l’épuisement.
Liviu a acheté des fruits.
Mes hôtes français on été à la foire, puis nous avons mangé des “ mici “ avec de la moutarde, et de la...bierre. Liviu s’est occupé de feu et c’est toujours lui qui les a grillés .
Et, le soir on va jusqu’à Vîrtop acheter du lait chez Valeria lui Iustin...
( Photos: Isabelle Gaudrel et moi même )
sâmbătă, 4 iulie 2009
Peur des ours
Le 4 juillet 2009
Samedi. Alain, Antonnie, Pascal, Isabelle et Emannuel sont allés au marché de Cîmpeni. Il faisait beau le matin, mais il a plu beaucoup l’après-midi.
J’ai fait la cuisine et une petite lessive. Aussi j’ai eu des touristes pour les informations. À Un moment donné il y avait deux jeunes Français, de Paris, ou des environs. Ils ont descendu du bus exactement quand il pleuvait le plus et je crois qu’ils regrettaient le confort du vehicule. Leurs projets de camper sauvage c’étaient inimaginables dans ces conditions. Ils ne voulaient pas se loger quelque part et ils ne pouvaient non plus mettre la tente par un temps pareil. J’avais envie de les inviter chez moi ou de les accompagner un bout de route. Ils étaient très jeunes et ils avaient peur des ours.